You are currently viewing LES LIMITES DE L’APPRENTISSAGE PAR LA THÉORIE : POURQUOI LA MISE EN SITUATION « CLASSIQUE » NE SUFFIT PAS !

Les limites de l'apprentissage par la théorie :
pourquoi la mise en situation « classique » ne suffit pas !

Vous proposez certainement déjà des jeux de rôle ou des simulations dans le cadre des formations et des ateliers TRE que vous proposez à vos étudiants.

C’est déjà un grand pas en avant, mais soyons honnêtes, n’avez-vous pas constaté que ces exercices présentent certaines limites qui peuvent être frustrantes pour vous comme pour vos étudiants ? Et pour cause : comment peut-on se plonger dans une situation fictive quand on sait pertinemment que c’est juste une simulation ? Et comment peut-on réellement évaluer si les compétences nécessaires sont acquises alors que dans ce type de situation l’évaluation est par nature très subjective ? Mais avez-vous réellement conscience de l’ensemble des limites de ces exercices ?

Dans cet article, nous allons les examiner de plus près !

Limite n°1 : le manque de réalisme :

Nous l’avons tous vécu : les situations simulées ne reflètent pas toujours la réalité ou alors de manière très simplifiée… A la clef ? le risque associé que les étudiants ne les prennent pas vraiment au sérieux. L’apprenant SAIT qu’il est en train de participer à une simulation et peut être conscient de l’absence de conséquences réelles. Cela réduit son implication émotionnelle dans la situation et limite sa prise de risque ou son engagement cognitif… sans parler de la peur du regard de l’autre ou bien encore du sentiment désagréable d’être en train de jouer la comédie … autant d’éléments qui limitent l’apprentissage !

Limite n°2 : l’absence de contexte :

Trop souvent décontextualisés, ces exercices ne permettent pas suffisamment aux apprenants d’en comprendre la pertinence… ce qui limite nettement le transfert d’apprentissage des compétences travaillées dans un contexte professionnel réel.

Limite n°3 : Difficulté à évaluer les compétences :

Trop souvent subjective et dépendante des perceptions et des opinions du formateur ou de l’évaluateur, l’évaluation des compétences acquises s’avère particulièrement complexe dans les exercices de mise en situation classique … sans compter le fait que rien n’assure qu’elles soient réellement celles qui vont s’avérer nécessaires pour réussir dans un environnement professionnel réel !

Limite n°4 : quantité et qualité faible retours d’expérience :

Vous le savez ces exercices sont particulièrement coûteux en termes de temps et de ressources, et de fait il est complexe de fournir la quantité et la qualité des retours d’expérience indispensables aux étudiants alors même qu’ils sont pourtant essentiels pour s’améliorer et corriger les erreurs éventuelles.

Illustration vectorielle d'un entretien

En conclusion, les exercices de mise en situation sont une avancée considérable dans le monde de la formation, permettant aux apprenants de s’exercer dans des situations fictives proches de la réalité. Toutefois, comme nous avons pu le constater, ils présentent également des limites qui peuvent entraver leur efficacité, telles que le manque de réalisme, l’absence de contexte, la difficulté à évaluer les compétences et la faible qualité des retours d’expérience. Il est donc nécessaire de trouver des solutions innovantes pour aller plus loin et contourner ces biais afin de garantir un apprentissage optimal pour les étudiants.

Cependant, de plus en plus de professionnels de la formation se tournent vers la réalité virtuelle comme solution innovante pour contourner ces limites et offrir des expériences d’apprentissage plus immersives et réalistes.

Pour en apprendre plus lisez vite notre article à ce sujet

Vous proposez certainement déjà des jeux de rôle ou des simulations dans le cadre des formations et des ateliers TRE que vous proposez à vos étudiants.

C’est déjà un grand pas en avant, mais soyons honnêtes, n’avez-vous pas constaté que ces exercices présentent certaines limites qui peuvent être frustrantes pour vous comme pour vos étudiants ? Et pour cause : comment peut-on se plonger dans une situation fictive quand on sait pertinemment que c’est juste une simulation ? Et comment peut-on réellement évaluer si les compétences nécessaires sont acquises alors que dans ce type de situation l’évaluation est par nature très subjective ? Mais avez-vous réellement conscience de l’ensemble des limites de ces exercices ?

Dans cet article, nous allons les examiner de plus près !

Limite n°1 : le manque de réalisme :

Nous l’avons tous vécu : les situations simulées ne reflètent pas toujours la réalité ou alors de manière très simplifiée… A la clef ? le risque associé que les étudiants ne les prennent pas vraiment au sérieux. L’apprenant SAIT qu’il est en train de participer à une simulation et peut être conscient de l’absence de conséquences réelles. Cela réduit son implication émotionnelle dans la situation et limite sa prise de risque ou son engagement cognitif… sans parler de la peur du regard de l’autre ou bien encore du sentiment désagréable d’être en train de jouer la comédie … autant d’éléments qui limitent l’apprentissage !

Limite n°2 : l’absence de contexte :

Trop souvent décontextualisés, ces exercices ne permettent pas suffisamment aux apprenants d’en comprendre la pertinence… ce qui limite nettement le transfert d’apprentissage des compétences travaillées dans un contexte professionnel réel.

Limite n°3 : Difficulté à évaluer les compétences :

Trop souvent subjective et dépendante des perceptions et des opinions du formateur ou de l’évaluateur, l’évaluation des compétences acquises s’avère particulièrement complexe dans les exercices de mise en situation classique … sans compter le fait que rien n’assure qu’elles soient réellement celles qui vont s’avérer nécessaires pour réussir dans un environnement professionnel réel !

Limite n°4 : quantité et qualité faible retours d’expérience :

Vous le savez ces exercices sont particulièrement coûteux en termes de temps et de ressources, et de fait il est complexe de fournir la quantité et la qualité des retours d’expérience indispensables aux étudiants alors même qu’ils sont pourtant essentiels pour s’améliorer et corriger les erreurs éventuelles.

Illustration vectorielle d'un entretien

En conclusion, les exercices de mise en situation sont une avancée considérable dans le monde de la formation, permettant aux apprenants de s’exercer dans des situations fictives proches de la réalité. Toutefois, comme nous avons pu le constater, ils présentent également des limites qui peuvent entraver leur efficacité, telles que le manque de réalisme, l’absence de contexte, la difficulté à évaluer les compétences et la faible qualité des retours d’expérience. Il est donc nécessaire de trouver des solutions innovantes pour aller plus loin et contourner ces biais afin de garantir un apprentissage optimal pour les étudiants.

Cependant, de plus en plus de professionnels de la formation se tournent vers la réalité virtuelle comme solution innovante pour contourner ces limites et offrir des expériences d’apprentissage plus immersives et réalistes.

Pour en apprendre plus lisez vite notre article à ce sujet

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